La répétition de prières ou de formules incantatoires, généralement à l’aide d’une sorte de chapelet composé d’un nombre variable de grains ou de perles, est une pratique courante dans différentes traditions religieuses et spirituelles. La méditation mantrique qui accompagne plusieurs formes de yoga repose elle-même sur cette pratique. D’aucuns n’y voient qu’un exercice monotone et lassant, mais s’il est vrai que certains peuvent s’y adonner de façon purement mécanique et routinière, il est aussi vrai qu’il recèle un pouvoir insoupçonné qui ne demande qu’à être libéré.
Tout n’est pas tout
Entretien entre Bhaktivedanta Swami et deux étudiants en philosophie venus entendre une de ses conférences alors qu’il était de passage à Boston, Massachusetts, le 23 décembre 1969.
Études supérieures en spiritualité (2/2)
Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que le Shrimad-Bhagavatam, le magistral commentaire de Vyasadéva sur le Védanta-sutra, prend le relais là où s’arrête la Bhagavad-gita afin d’élargir le spectre des connaissances en matière de spiritualité. Voyons maintenant ce qui le distingue de tous les autres écrits védiques.
Études supérieures en spiritualité (1/2)
Diverses branches des Védas traitent de sujets allant de la médecine à l’astronomie et de la diplomatie aux arts martiaux. Aux chapitres de la philosophie et de la spiritualité, les écoles de pensée et les approches à la réalisation de soi y sont décrites en détail. Elles y sont en outre présentées suivant une gradation qui favorise une juste compréhension des jalons à franchir pour comprendre la Vérité absolue et atteindre la perfection de l’existence. Et il en va de même des textes conçus pour guider notre quête de savoir
Les bienfaits de la méditation
Depuis plus d’un demi-siècle maintenant, les recherches et les études sur la méditation se multiplient. La science s’intéresse d’ailleurs de plus en plus à ses effets sur la santé physique et mentale, aussi bien chez les enfants que chez les personnes âgées. Mais la science moderne étant ce qu’elle est, c’est-à-dire limitée à des données observables et mesurables au moyen de nos sens imparfaits et d’appareils eux-mêmes confinés aux limites de la matière, elle oblitère complètement l’objet premier et les bienfaits supérieurs de la méditation.