Mal aimée et malmenée, la religion soulève les passions, pour le meilleur et pour le pire. Malgré tous les efforts déployés pour l’éradiquer, ou à tout le moins la faire taire, force est de reconnaître qu’elle demeure une réalité omniprésente avec laquelle il convient non seulement de composer, mais de se réconcilier.
Le monde à l’envers
Vous avez peut-être déjà lu ou entendu la formule «Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut» ou, dans sa forme abrégée, «En bas, comme en haut»? Elle est attribuée à Hermès Trismégiste, le mythique père de l’alchimie dans l’Antiquité gréco-égyptienne, entre le 3e et le 2e siècle avant notre ère. On l’aurait trouvée dans son tombeau, gravée sur une tablette d’émeraude renfermant la somme de ses enseignements ésotériques.
Chaitanya – L’avatar doré (1/2)
Dans la foulée de Bouddha et des grands maîtres qu’ont été Shankara, Ramanuja et Madhva, le 15e siècle a vu naître un réformateur emblématique du nom de Chaitanya dont l’influence continue de s’étendre à ce jour.
Quand le diable s’en mêle
Une silhouette drapée de noir sur la couverture d’une édition du Time des années 1970 dévisageait le lecteur d’un air menaçant. «L’occultisme renaît – Satan revient», titrait le magazine. L’article à la clé proclamait que le satanisme et la sorcellerie étaient en train d’évincer la foi religieuse. Et qu’ils recrutaient leurs fidèles non seulement chez les excentriques et les marginaux, mais aussi, voire surtout dans la haute bourgeoisie européenne et américaine! Mode passagère? Pas du tout. Cinquante ans plus tard, les statistiques continuent de témoigner d’une vague de fascination soutenue
Le yoga de l’amitié
Dans la série «Les neuf clés de la bhakti».