La spiritualité peut-elle jouer un rôle dans le règlement de la crise écologique mondiale?
«Les sceptiques seront con-fon-dus!»
Cette expression si chère au Capitaine Bonhomme de mon enfance – comme de celle de milliers de baby-boomers – trouve écho dans tous les aspects de la vie. Y compris en spiritualité – n’en déplaise aux négationnistes –, et tout aussi bien en science, comme le souligne la biologiste Audrey Martel dans un article intitulé «Je suis une éternelle sceptique positive» d’abord publié sur le site du Jardinier paresseux et reproduit ici avec son aimable permission.
Osons être philosophes
Qu’on se le tienne pour dit: la spiritualité sans philosophie n’est que sentimentalité!
Les yeux du cœur (1/2)
La foi a souvent été définie comme la faculté de voir avec les yeux du cœur. Et Pascal disait que le cœur a ses raisons, que la raison ne connaît point. Quoi qu’il en soit, il serait bien difficile de parler de spiritualité sans parler de foi. Cela dit, la foi étant largement tenue pour irrationnelle, est-ce à dire que la spiritualité relève du fantasme?
Les aliénés sont parmi nous! (2/2)
Pour guérir de l’aliénation qui corrompt la société actuelle et, au tout premier chef, chacun et chacune de nous, nous devons appréhender la source du mal et son remède. Pour ce faire, certaines questions toutes simples et parfaitement légitimes s’imposent. Les réponses qu’elles appellent nous orienteront vers un processus de guérison naturel grâce à une conscience élargie de la cause et de la finalité aussi bien de l’univers que de notre propre existence.