Cette expression si chère au Capitaine Bonhomme de mon enfance – comme de celle de milliers de baby-boomers – trouve écho dans tous les aspects de la vie. Y compris en spiritualité – n’en déplaise aux négationnistes –, et tout aussi bien en science, comme le souligne la biologiste Audrey Martel dans un article intitulé «Je suis une éternelle sceptique positive» d’abord publié sur le site du Jardinier paresseux et reproduit ici avec son aimable permission.