Je vous ai déjà brièvement parlé de ce grand maître du 11e siècle en lien avec Shankara et Chaitanya, l’avatar doré. Sa contribution à l’édifice de la philosophie et de la spiritualité védiques mérite toutefois un traitement plus élaboré.
Études supérieures en spiritualité (2/2)
Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que le Shrimad-Bhagavatam, le magistral commentaire de Vyasadéva sur le Védanta-sutra, prend le relais là où s’arrête la Bhagavad-gita afin d’élargir le spectre des connaissances en matière de spiritualité. Voyons maintenant ce qui le distingue de tous les autres écrits védiques.
L’essence du savoir védique
Les Védas sont si vastes et leur structure est si inhabituelle pour un esprit occidental que tout étudiant, si sincère soit-il, aurait bien du mal à s’y retrouver sans l’aide d’un maître qualifié. Un judicieux résumé peut toutefois nous fournir les repères nécessaires à une meilleure compréhension d’ensemble de cette somme de savoir.
Le yoga de l’amitié
Dans la série «Les neuf clés de la bhakti».
Les trois secrets de la Bhagavad-gita
En instruisant son disciple, Krishna lui révèle un savoir dont la profondeur se mesure à différents niveaux. Ce savoir est tenu pour secret à plusieurs égards, en ce que nul avant lui ne l’avait ni n’aurait pu le dévoiler.