Un peu d’écologie pratique, ça vous dit? Rassurez-vous, je ne vais pas vous parler de l’augmentation du prix de l’essence et de vos factures d’électricité, mais plutôt du coût caché des énergies que nous utilisons en tant que société et qu’individus.
Moi, moi, moi
Depuis l’aube des temps, les Védas décrivent le culte du moi (ahankara en sanskrit) comme la source de tous nos maux, aussi bien individuels que collectifs. Les manifestations de l’égotisme sont innombrables, puisqu’il y en a autant que d’individus. Il arrive cependant, au gré des époques et des cultures, qu’elles s’agglomèrent et se cristallisent sous forme de courants idéologiques, comme le libéralisme, le conservatisme, le socialisme ou le communisme. Aujourd’hui, la mode est à l’individualisme, au wokisme et à l’absolutisme.
Le cerveau et la conscience
On dirait le titre d’une fable. Mais il n’en est rien. Quoique… Les Védas expliquent par le menu détail que la conscience procède de l’âme, sise dans la région du cœur, d’où elle rayonne dans le corps tout entier. La science prétend au contraire que la conscience n’est rien d’autre que l’activité électrobiochimique du cerveau. Qui dit vrai?
C’est ce qu’on fait qui fait…
… qu’on est ce qu’on est. «C’est ce qu’on fait qui fait qu’on est ce qu’on est», disait l’humoriste André Sauvé dans un spectacle privé donné sur plateforme vidéo durant la pandémie de COVID-19. Autrement dit, nos actions parlent d’elles-mêmes et témoignent on ne peut mieux de nos valeurs et de nos convictions profondes.
L’âme – Où va-t-elle?
Dans la série «L’âme, cette inconnue», inspirée des textes védiques…