La foi a souvent été définie comme la faculté de voir avec les yeux du cœur. Et Pascal disait que le cœur a ses raisons, que la raison ne connaît point. Quoi qu’il en soit, il serait bien difficile de parler de spiritualité sans parler de foi. Cela dit, la foi étant largement tenue pour irrationnelle, est-ce à dire que la spiritualité relève du fantasme?
Transcendance
Un bien grand mot que celui-là. A priori plutôt abstrait, il a donné lieu à diverses interprétations au cours des siècles, et beaucoup l’emploient aujourd’hui un peu à toutes les sauces. La littérature védique y réfère cependant en des termes clairs qui permettent d’en mieux saisir les nuances.
L’âme, cette inconnue
Ou devrais-je plutôt dire «cette illustre inconnue»? Après tout, n’est-elle pas sur toutes les lèvres? Certains parlent d’âmes sœurs ou de vieilles âmes, d’autres ont le vague à l’âme ou l’âme en peine, et d’autres encore sont persuadés d’avoir une âme alors que certains s’en défendent, jusqu’à ce qu’on dise qu’ils ont bel et bien rendu l’âme. Pour faire la lumière sur cette notion largement malmenée et, sinon inconnue, à tout le moins méconnue, je vous propose, au fil des mois à venir, une série d’articles inspirés des textes védiques
Simplicité volontaire
Si vous croyez que la simplicité volontaire est une idée nouvelle, détrompez-vous. Thoreau, Tolstoï et Gandhi ont peut-être inspiré ses plus récents défenseurs, mais François d’Assise les avait précédés au 13e siècle, et Diogène bien avant lui, au 4e siècle avant notre ère!