Vous avez peut-être déjà lu ou entendu la formule «Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut» ou, dans sa forme abrégée, «En bas, comme en haut»? Elle est attribuée à Hermès Trismégiste, le mythique père de l’alchimie dans l’Antiquité gréco-égyptienne, entre le 3e et le 2e siècle avant notre ère. On l’aurait trouvée dans son tombeau, gravée sur une tablette d’émeraude renfermant la somme de ses enseignements ésotériques.
Quand le diable s’en mêle
Une silhouette drapée de noir sur la couverture d’une édition du Time des années 1970 dévisageait le lecteur d’un air menaçant. «L’occultisme renaît – Satan revient», titrait le magazine. L’article à la clé proclamait que le satanisme et la sorcellerie étaient en train d’évincer la foi religieuse. Et qu’ils recrutaient leurs fidèles non seulement chez les excentriques et les marginaux, mais aussi, voire surtout dans la haute bourgeoisie européenne et américaine! Mode passagère? Pas du tout. Cinquante ans plus tard, les statistiques continuent de témoigner d’une vague de fascination soutenue
Le yoga de l’abandon
Dans la série «Les neuf clés de la bhakti».
Les bienfaits de la méditation
Depuis plus d’un demi-siècle maintenant, les recherches et les études sur la méditation se multiplient. La science s’intéresse d’ailleurs de plus en plus à ses effets sur la santé physique et mentale, aussi bien chez les enfants que chez les personnes âgées. Mais la science moderne étant ce qu’elle est, c’est-à-dire limitée à des données observables et mesurables au moyen de nos sens imparfaits et d’appareils eux-mêmes confinés aux limites de la matière, elle oblitère complètement l’objet premier et les bienfaits supérieurs de la méditation.
Vivre sans regret
Il y a sans doute plusieurs choses qu’on peut regretter au cours d’une vie. Mais savez-vous quels sont les plus grands regrets exprimés par une majorité de gens au terme de leur séjour sur terre? La liste en est étonnamment courte, et elle mérite réflexion.