Description
Contes de l’Inde ancienne est l’ouvrage dont s’inspirait la série Fables et maximes de mon blogue. Alors que cette série ne présentait succinctement qu’une partie des histoires abordées dans le livre, vous découvrirez ici le contexte dans lequel s’inscrivent les récits que vous avez tant aimés… et beaucoup plus encore.
Guy Tétreault nous initie en effet aux secrets de la niti, la sagesse pratique enseignées aux futurs rois dès leur plus jeune âge pour leur apprendre à gouverner sainement. Il nous explique en outre que cette sagesse fondée sur l’éthique ne permet pas seulement d’obtenir le succès dans ses entreprises, mais aussi de bien choisir ses amis et de cultiver les principes du dharma, soit l’accomplissement de ses devoirs et obligations dans le respect de soi, d’autrui, de la nature et des valeurs universelles. Autant d’atouts favorables à la pleine réalisation de soi, sur le plan tant matériel que spirituel.
Extrait de la préface
de Dr Satya Narayana Dasa – Auteur et directeur du Jiva Institute
Cet ouvrage de sagesse est relié de près aux autres grands classiques védiques, dont la Bhagavad-gita, le Mahabharata et les Pouranas, car plusieurs des histoires et des maximes qu’on y retrouve proviennent de ces textes. Il en expose par ailleurs les principes fondamentaux, tels la loi du karma, la place du destin et du libre arbitre, l’importance de bien agir pour éviter un mauvais karma ainsi que l’art de choisir son entourage.
L’auteur de ce livre, Guy Tétreault, est un de mes étudiants de longue date, et il maîtrise très bien le sujet. Avec l’aide de précieux collaborateurs, comme Vincent Comiti et l’équipe de la collection Approche, il a réussi à présenter une version conviviale et accessible à tous de ce grand classique de sagesse pratique.
J’espère que vous aurez plaisir à méditer sur les trésors de savoir contenus dans ce livre, puisqu’il est dit: «La connaissance représente la richesse la plus désirable, car c’est grâce à elle que l’on peut obtenir toute autre forme de richesse. Elle reste gravée en soi et augmente lorsqu’elle est transmise à autrui. Elle n’est jamais un fardeau à transporter et ne peut pas être volée.» (Shoukra-niti, 3.180).