Cette expression si chère au Capitaine Bonhomme de mon enfance – comme de celle de milliers de baby-boomers – trouve écho dans tous les aspects de la vie. Y compris en spiritualité – n’en déplaise aux négationnistes –, et tout aussi bien en science, comme le souligne la biologiste Audrey Martel dans un article intitulé «Je suis une éternelle sceptique positive» d’abord publié sur le site du Jardinier paresseux et reproduit ici avec son aimable permission.
Le mystérieux fleuve Sarasvati
Suite de la série historique consacrée à la théorie de l’invasion aryenne, échafaudée dans le but de minimiser l’importance de la culture et des textes védiques.
La foi déplace les montagnes, mais…
Suite de la série historique consacrée à la théorie de l’invasion aryenne, échafaudée dans le but de minimiser l’importance de la culture et des textes védiques.
Squelettes, chevaux et vieilles pierres
Suite de la série historique consacrée à la théorie de l’invasion aryenne, échafaudée dans le but de minimiser l’importance de la culture et des textes védiques.
Les yeux du cœur (1/2)
La foi a souvent été définie comme la faculté de voir avec les yeux du cœur. Et Pascal disait que le cœur a ses raisons, que la raison ne connaît point. Quoi qu’il en soit, il serait bien difficile de parler de spiritualité sans parler de foi. Cela dit, la foi étant largement tenue pour irrationnelle, est-ce à dire que la spiritualité relève du fantasme?